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vendredi 22 avril 2016

Office des lectures : L'Apocalypse, une interprétation difficile.

Apocalypse, 17, 1-8
01 L’un des sept anges aux sept coupes vint me parler : « Viens, dit-il, je vais te montrer ce que sera la condamnation de la grande prostituée assise au bord des grandes eaux.
02 Les rois de la terre se sont prostitués avec elle, et ceux qui habitent la terre se sont enivrés du vin de sa prostitution. »
03 Il me transporta en esprit au désert. Et j’ai vu une femme assise sur une bête écarlate qui était couverte de noms blasphématoires et qui avait sept têtes et dix cornes.
04 Cette femme était vêtue de pourpre et d’écarlate, toute parée d’or, de pierres précieuses et de perles ; elle avait dans la main une coupe d’or remplie d’abominations, avec les impuretés de sa prostitution.
05 Il y avait sur son front un nom écrit, un mystère : « Babylone la Grande, la mère des prostitutions et des abominations de la terre. »
06 Et j’ai vu la femme ivre du sang des saints et du sang des témoins de Jésus. En la voyant, je fus saisi d’un grand étonnement.
07 Et l’ange me dit : « Pourquoi es-tu étonné ? Moi, je te dirai le mystère de la femme et de la Bête qui la porte, celle qui a les sept têtes et les dix cornes.
08 La Bête que tu as vue, elle était, mais elle n’est plus ; elle va monter de l’abîme pour aller à sa perdition. Quant aux habitants de la terre dont le nom n’est pas inscrit dans le livre de la vie depuis la fondation du monde, ils seront étonnés au spectacle de la Bête qui était, qui n’est plus et qui va reparaître.

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